Largement répandue dans tout le Moyen-Orien et au Maghreb, la darbouka (darabùkka, durbakkah, tarabuka, doumbek…) appartient à la catégorie des tambours en gobelet, c’est-à-dire en forme de coupe ou de calice. L’existence de ce membranophone est attestée depuis plusieurs millénaires. L’instrument est, en général, pourvu d’une seule peau (chèvre, poisson ou plastique), souvent collée sur un fût en bois, en terre cuite ou en métal. 

La darbouka se joue debout ou en position assise. Elle se frappe avec les doigts ou avec la paume de la main en utilisant d’innombrables techniques de frappes suivant les écoles (arabes, turques, égyptiennes…).Nous avons sélectionné des darboukas dites turques, très légères  (fût aluminium avec peau synthétique à tension réglable) et des darboukas égyptiennes (fût en fonte d’aluminium, peau synthétique à tension réglable) plus lourdes avec bords arrondis offrant un meilleur confort de jeu.