Née en Belgique, après des études en Arts Graphiques à la grande école d’Art Saint-Luc à Gand, elle devient dessinatrice textile pour une des prestigieuses maisons de prêt-à-porter de luxe à Paris.

Puis en tant qu’indépendante, elle invente des lignes et mène des projets pour un public enfantin, notamment. 

Après une escale en Allemagne, elle a choisi la France pour développer des ateliers artistiques pour enfants et faire des illustrations. Puisant dans les saveurs de son enfance flamande et dans sa curiosité pour l’art et les voyages, elle porte sur la nature un regard émerveillé et sensible. 

Son intérêt pour les nuances et les détails donnent à la réalité un supplément d’âme. 

C'est une douce invitation à un voyage rempli d'inspiration, de poésie, de fantaisie et de tendresse.

Chez Lugdivine :

1330 : Saisons gourmandes

 Spectacle musical et ateliers proposés à partir de l'ouvrage :

Amélie Pialoux :

Amélie Pialoux est trompettiste de formation, dans différents conservatoires comme Clermont-Ferrand et Saint-Etienne.Suite à cela elle décide de se spécialiser dans le répertoire et les instruments baroques et rentre la même année dans la classe de Jean François Madeuf au CNSMD de Lyon où elle obtiendra son master en 2013. Elle sera ensuite admise dans la classe de cornet à bouquin où elle travaillera successivement avec William Dongois puis Jean Tubery.

Elle est titulaire également d’un master en Arts Plastiques ainsi que du Diplôme d’état de professeur de trompette. Elle passera un semestre à se perfectionner au Conservatoire Royale de La Haye dans la classe de Susan Williams. Lors de divers projets aura l’opportunité de travailler sous la direction de grands chefs tels que Kuijken Sigiswald, Peter Van Heyghen, Patrick Aytron…

Passionnée par la pédagogie et la transmission des savoirs, elle décidé de se lancer dans l'aventure du spectacle vivant et fonde l'ensemble Nulla Dies Sine Musica avec Guy Estimbre.

« Les visites musicales du Petit Charles » sont ainsi nées. 

Chez Lugdivine :

CUI1 - CUI2 - CUI3 - CUI4 : LEs visites musicales du Petit Charles

Nulla Dies Sine Musica : Ensemble de musiques anciennes jouées sur instruments historiques.

            La transmission aux plus jeunes tient à cœur de chacun des membres de notre ensemble. Investis dans la pédagogie ou désireux de faire partager la pratique de leur instrument, pas forcément des cuivres d'ailleurs, puisque nous valorisons également les claviers (clavecins, harmonium et pianoforte font partie de la collection), mais aussi des cordes comme le violon, la viole de gambe etc...nous travaillons et menons de nombreux concerts découvertes auprès des plus jeunes, afin de leur faire découvrir de nouveaux mondes sonores et de nouveaux instruments. C'est sur cela que nous insistons car je pense que c'est notre devoir de préparer les générations futures à de nouvelles pratiques musicales (d'hier ou de demain) mais également leur donner l'envie de venir écouter des concerts ou des spectacles musicaux. Encore une fois, leur donner l'envie de découvrir, le goût pour le spectacle vivant, celui-là même qui repose sur la rencontre et le partage sans frontières entre artistes et spectateurs.

            Pour le jeune public, pour lequel nous travaillons beaucoup actuellement, nous proposons deux contes musicaux où nous mettons en vie et en scène des instruments zoomorphes. « Lilabella et les dragons enchantés », qui narre l'histoire d'une petite fille qui voyage malgré elle dans différentes époques et des décors animés virtuellement. Elle y découvrira de nouvelles esthétiques musicales guidée par des dragons sarcastiques et moqueurs. Un autre conte nommé « Petit Clairon deviendra grand » nous fait partager l'histoire d'un garçon qui aimerait « faire plus de notes » comme les grands de sa famille qui pratiquent des cuivres étranges et uniques.

Guy Estimbre :

Trompettiste de formation, après un cursus presque traditionnel aux CRR de Montpellier, Schola Cantorum Basiliensis et CNMSD de Lyon, il a décidé d'investir le champ de la recherche musicologique en s'appuyant sur l'organologie comme support à l'interprétation des musiques anciennes. Il décide de donner vie à tous ces projets en fondant conjointement avec Amélie Pialoux l'ensemble Nulla Dies Sine Musica.

 Son premier axe de recherche fut l'exploration du répertoire baroque et ses premiers essais de copies d'instruments en découlèrent notamment pour la trompette baroque. En suivirent bien d'autres comme le cor, la sacqueboute, les cornets à bouquin et serpents. Après avoir exploré les périodes baroque et classique, se sont posées de nouvelles questions, d'ordre musicologique et organologique quand il a abordé le répertoire du XIX° siècle. Cette période est la plus riche pour les cuivres au niveau de leur évolution. Par chance, encore proche de nous, les instruments fabriqués durant cette période sont encore à notre portée et il n'a pas eu besoin de faire des copies pour les jouer et les exposer. Cela étant, leur état de conservation (bien souvent très abîmés), a nécessité un travail de restauration assez conséquent de sa part afin de leur redonner vie.

La collection, au départ, s'articulait véritablement autour de la trompette et des cornets à pistons. Cela n'a pas duré, puisque dès le début il a voulu faire profiter le public et les élèves de ses instruments. Il a donc élargi son champ de recherche s'est mis à la pratique de nouveaux instruments comme le serpent, l'ophicléide et bien d'autres encore. Ceux-ci devenant support vivant du parcours sonore instauré, puisque tous jouables, le concept d'exposition itinérante interactive était né :« Une expo dans le vent ? Un voyage dans le temps ! ».

« Les visites musicales du Petit Charles » sont nées de ce concept. C'est ainsi que inspiré du réel cette aventure devient virtuelle, sous la forme d'une bande dessinée. Le support numérique interactif était la solution pour que l'exposition soit visible et consultable par tout un chacun depuis son ordinateur ou sa tablette et prenne enfin vie sur la toile.

Chez Lugdivine :

CUI1 - CUI2 - CUI3 - CUI4 : LEs visites musicales du Petit Charles

Nulla Dies Sine Musica : Ensemble de musiques anciennes jouées sur instruments historiques.

            La transmission aux plus jeunes tient à cœur de chacun des membres de notre ensemble. Investis dans la pédagogie ou désireux de faire partager la pratique de leur instrument, pas forcément des cuivres d'ailleurs, puisque nous valorisons également les claviers (clavecins, harmonium et pianoforte font partie de la collection), mais aussi des cordes comme le violon, la viole de gambe etc...nous travaillons et menons de nombreux concerts découvertes auprès des plus jeunes, afin de leur faire découvrir de nouveaux mondes sonores et de nouveaux instruments. C'est sur cela que nous insistons car je pense que c'est notre devoir de préparer les générations futures à de nouvelles pratiques musicales (d'hier ou de demain) mais également leur donner l'envie de venir écouter des concerts ou des spectacles musicaux. Encore une fois, leur donner l'envie de découvrir, le goût pour le spectacle vivant, celui-là même qui repose sur la rencontre et le partage sans frontières entre artistes et spectateurs.

            Pour le jeune public, pour lequel nous travaillons beaucoup actuellement, nous proposons deux contes musicaux où nous mettons en vie et en scène des instruments zoomorphes. « Lilabella et les dragons enchantés », qui narre l'histoire d'une petite fille qui voyage malgré elle dans différentes époques et des décors animés virtuellement. Elle y découvrira de nouvelles esthétiques musicales guidée par des dragons sarcastiques et moqueurs. Un autre conte nommé « Petit Clairon deviendra grand » nous fait partager l'histoire d'un garçon qui aimerait « faire plus de notes » comme les grands de sa famille qui pratiquent des cuivres étranges et uniques.

Depuis dix ans, Jean Jeltsch et Muriel de Poorter développent un travail autour de la pédagogie musicale et des instruments de musique rudimentaires.
Cette recherche, née d’une conviction et d’un combat, vise à permettre, à tous les enfants et personnes désireuses de s’initier à la musique, une rencontre avec un instrument et une pratique musicale à la fois active et collective.

Jean Jeltsch et Muriel de Poorter travaillent tous deux au Centre de Formation de Musiciens Intervenants de Lille. C’est dans ce cadre qu’ils ont développé le cycle « Lutheries sauvages pour musiciens civilisés », conçu les embouchures et les becs, organisé des stages de formation continue
(réunissant des musiciens de divers horizons, des pédagogues et des chercheurs). C’est en 2010 qu’ils créent l’Atelier de Lutheries Expérimentales, le label ALEx et de multiples expositions de médiation scientifique autour des instruments de musique.
Pour l’ensemble de ce travail ils ont obtenu le Prix spécial du jury, prix de l’innovation pédagogique du PRES (Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur) Lille-Nord-de France 2011.

Jean JELTSCH, clarinettiste et historien de la clarinette, a pratiqué diverses clarinettes anciennes (chalumeaux et cors de basset) avant de s’intéresser aux musiques de tradition orale de France et d’Europe (Hongrie). Il dirige actuellement le CFMI de Lille où il est en poste depuis 2003. Il a mis en place un cours d’organologie pratique et travaille actuellement sur diverses reconstitutions d’instruments disparus et sur la question de l’innovation en matière d’instruments de musique. Il est détenteur de deux brevets d’invention internationaux.

Chez Lugdivine :

1310 : Construire sa musique